"Chaque miroir porte mon nom."
(Jacques Rigaut)
Deux journées à la Bibliothèque nationale. Je ne me ferai jamais à son architecture carcérale. On en sort épuisé. Le personnel semble lutter contre la torpeur. Plusieurs photocopies dont un poème nostalgique de Tzara dans lequel J.R. est cité. Je parcours quelques livres sur le rôle des femmes dans le surréalisme. Un rôle souvent occulté. Ai commencé à lire Gilles de Pierre Drieu la Rochelle. Dans sa préface de 1942, Drieu évoque son ami J.R.