" (...) Michel Ohl a aussi des parrains parmi « les suicidés de la société » tels Arthur Cravan, Jacques Vaché, René Crevel, André Frédérique, Jacques Rigaut (« Il ne s'est jamais rien passé ; c'est une maladie de la mémoire ») et d'autres, plus paisibles, comme Renan, Larbaud, Borges, Arland, Paulhan, Gide, Schwob pour ne pas redire Pia et Sigaux ou encore Albert Thibaudet, Jean Pommier, René Dumesnil, Kléber Haedens, Jean Gaulmier, Hubert Juin... La caste de ceux qui ont tout lu est la sienne. (...)" (Louis Nucéra, Mes ports d'attache, Grasset, 1994). La suite ICI