@work
Ai toujours préféré le présent aux temps du passé pour raconter une vie. Peu de biographes utilisent le présent. Pourtant, il donne au récit une proximité immédiate et apporte l'énergie nécessaire afin que le personnage qui se dessine au fil des pages soit VIVANT. Les répétitions et autres redondances sont également justifiées voire indispensables, comme par exemple pour les dates. Que le lecteur ne soit pas obligé de remonter au début du chapitre pour savoir en quelle année il se trouve...