15.9.07

D'un blog l'autre



C'est l'ami Claro (traducteur entre autres de William T. Vollmann, Thomas Pynchon, Marc Z. Danielewski, Kathy Acker, Hubert Selby Jr.) qui ouvre le b.a.l en m'envoyant un courriel pour me prévenir qu'on parle (en bien) du Feu follet ici. Alors commence une belle partie de ping-pong virtuelle avec J.R. au centre de la table...

Fin de l'article

"Ces mots, sobres et violents, closent le livre. La puissance de ce petit roman a pour raison principale la parfaite adéquation du style et du contenu. L’ambiance créée par Drieu la Rochelle est lourde, triste et ses phrases courtes, saccadées contribuent à créer cette ambiance sinistre. Les métaphores, seules fantaisies stylistiques de ce livre, sont elles-mêmes empreintes d’une poésie mélancolique que certains trouveront peut-être aujourd’hui un peu trop convenue (« Le jour glissait sur la nuit comme un chiffon mouillé sur un carreau sale »). Quoi qu’il en soit, il faut lire et relire le Feu follet."